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CHRISTIAN LEFEBVRE RECRUTE
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Christian Lefebvre, l’entrepreneur, fête les 30 ans de sa société de bâtiment
La voix du Nord publié le 02/07/2016 - Par Par G.B.
Christian Lefebvre est depuis 30 ans entrepreneur en maçonnerie. Il a commencé tout seul le 7 juillet 1986 à Clairfayts pour parvenir à être à la tête d’une entreprise en bâtiment comptant une soixantaine de salariés, établie depuis 2005 à Solre-le-Château. Itinéraire d’un homme qui a toujours su ce qu’il voulait
Dans le milieu du bâtiment, son parcours est souvent cité en exemple. Ses panneaux à l’inscription bleue sur fond jaune sont visibles un peu partout dans l’arrondissement et au-delà. En Belgique et dans l’Aisne. Le 7 juillet, cela fera trente ans que cet artisan maçon a commencé tout seul. Trente ans dans le bâtiment à son compte et désormais à la tête d’une entreprise qui a bien prospéré.
Avec une Renault 14
Il s’installe en 1986 après avoir obtenu un CAP de maçon briqueteur à l’AFPA de Rousies et travaillé chez d’autres artisans. Il débute avec une Renault 14 et une petite remorque. Un an plus tard, il s’achète un camion benne. « Un Ford » se souvient-il. Travaillent ensuite avec lui quatre autres personnes.
Les premières années, il œuvre beaucoup pour les particuliers. Avec ensuite un tournant. « J’ai commencé à répondre à des appels d’offre en 1990, sur le conseil d’un architecte qui avait travaillé pour moi ».
Les salles des fêtes du secteur
Trois, quatre ans plus tard, il répond aussi aux programmes des bailleurs sociaux. « Je fais moins de particuliers aujourd’hui ». La salle des fêtes de Beugnies c’est lui. Celle de Sémeries, encore lui. Le musée du verre qui ouvrira le 1er octobre c’est encore lui. « On y a fait les façades, les sols, les pavages, l’isolation entre les deux. C’est une belle référence » dit le chef d’entreprise. Qui travaille aussi en famille avec son épouse, son fils Kevin Lefebvre sur le terrain pour le terrassement et sa fille Aline Lefebvre s’occupant de la gestion, de la comptabilité et de l’administratif.
« On a aussi un projet en face de la Poste à Solre-le-Château. Soit sept logements neufs et quatre réhabilitations ». Depuis quelques années, il a livré pour son compte des programmes de logements neufs. Comme ceux de l’immeuble juste à côté de son entreprise solrézienne. Un immeuble avec ascenseur. Un confort pour les locataires plus âgés. Et une réponse aussi à une demande bien présente dans le paysage locatif avesnois. Une piste de développement supplémentaire.
Entreprise Christian LEFEBVRE, une histoire de Famille
La première pierre du futur musée du Verre posée en grande pompe.
La voix du Nord publié le 11/06/2014 - JEAN-MICHEL VAILLANT
Patrick Kanner a posé mardi soir, la première pierre du futur musée départemental du Verre à Sars-Poteries.
Un geste symbolique pour marquer les 18 mois de travaux qui permettront à la nouvelle structure d’être inaugurée en octobre 2015, si tout se déroule comme prévu. Mais le président du conseil général du Nord a surtout insisté sur le rôle économique de ce musée qui « n’est pas un aboutissement ». Pour qu’il puisse grandir et se développer, « il faudra des lieux d’hébergement, de restauration, des parkings et des commerces afin accueillir les visiteurs qui se déplaceront de loin. » Un levier de développement pour continuer à aménager un territoire en grande difficulté, car « il y a une vie en dehors des villes. »
La ferveur de Mériaux
L’histoire du musée a commencé avec la ferveur d’un passionné. En 1967, l’abbé Louis Mériaux, conscient d’une richesse locale injustement laissée à l’abandon, décide de créer un musée du verre à Sars-Poteries. Conçu comme un hommage au passé industriel prestigieux du territoire, il renfermait alors des oeuvres au nom peu évocateur de la beauté des pièces exposées, les « bousillés ». Créées par les ouvriers sur leur temps de pause, elles font partie de la collection permanente. Puis, en visionnaire, l’abbé Mériaux a souhaité relier cet art populaire à la création contemporaine en verre. C’est ainsi que sont nées les résidences d’artistes, une reconnaissance internationale qui a abouti à la création de l’Atelier départemental du verre, inauguré en 2001.
2001, c’est l’année où le Département, propriétaire depuis 1994, décide de construire un musée destiné à recevoir une collection contemporaine, la première de France. Un premier projet porté par l’architecte Christian Menu n’avait pu se concrétiser. En 2011, parmi les 97 candidatures, c’est le projet de l’architecte toulousain Raphaël Voinchet, architecte toulousain qui a été retenu. Il rappelle la pierre bleue, qui est la marque de fabrique.
Le futur musée en chiffres
Investissement : 13 M €.
subvention de l’Etat : 2,25 M €.
Surface totale du bâtiment : 4 000 m2
Nombre de visiteurs attendus : 50 000 visiteurs.
Surface d’exposition : 1 000 m2
(contre 300 m2 actuellement).
Poids de pierre bleue utilisé en construction : 200 tonnes.
Le club d'entreprises FACE Thiérache
La voix du Nord publié le 17/01/2013
Le club d'entreprises FACE Thiérache, dont le siège est à Fourmies depuis 1999, est un acteur essentiel dans la mobilisation des entreprises au coeur de ses actions à destination des publics exclus ou en situation d'exclusion.
En décembre, un groupe de onze demandeurs d'emploi a participé à une action intitulée : « Informations métiers, découverte de l'entreprise ». Cette action donne des informations sur les métiers en tension ou porteurs comme par exemple ceux de carreleur, maçon, peintre, installateur thermique et sanitaire, couvreur...
C'est grâce à la mobilisation des entreprises locales que FACE Thiérache a pu mener cette action. En effet, la plus-value apportée par cet outil territorial réside dans sa force et sa vocation à mobiliser les entreprises bénévolement.
Les objectifs étaient de faire connaître ces métiers, les formations, les attentes de l'entreprise face au savoir-être de ses collaborateurs, préparer à la recherche d'emploi (CV, simulation d'entretien d'embauche, présentation...) tout en abordant la notion de mobilité.
Les participants ont rencontré des professionnels experts et passionnés, venus pour échanger sur les conditions d'accès à ces métiers mais aussi appréhender les formations existantes, les qualités nécessaires pour les exercer, tout en soulignant les attentes des entreprises en matière de savoir, de savoir-faire et savoir-être.
Les professionnels ont fortement insisté sur la motivation. Mme Morisaux a insisté sur ce qu'il faut montrer : « c'est la volonté de faire, le travail ne viendra pas à vous. » De nombreux encouragements ont rythmé les interventions, comme par exemple M. Vanderborgh qui souligne que « si vous réussissez, c'est grâce à vous » ou encore M. Vidrequin qui pense que « dans le bâtiment, il y aura une relance, ne baissez pas les bras ».
Enfin, tous évoquent les qualités de résistance physique, sérieux, ponctualité, bonne présentation et d'honnêteté car c'est l'image de l'entreprise qui est véhiculée chez les clients. La notion de mobilité a été abordée par Mme Lecoutre qui a présenté les avantages des services du territoire liés à la mobilité.
Le groupe a pu visiter les locaux de l'entreprise Christian Lefebvre à Solre-le-Château. Les contacts au cours de ces ateliers ont permis aux participants de remettre leur CV à des chefs d'entreprises et d'avoir davantage de précisions sur l'accès aux formations qualifiantes. La mise en situation d'un entretien d'embauche leur a permis de s'exercer à présenter leur parcours, exprimer leurs motivations, parfaire leur présentation.
Enfin, la proximité et la disponibilité des chefs d'entreprises ont permis à chacun d'exposer sa situation. « Il faut avoir de l'ambition et mettre des cordes à son arc pour que les portes s'ouvrent » a ajouté Mme Morisaux.
Le parcours de Christian Lefebvre
La Voix du Nord Publié le 31/12/2012
Le parcours de Christian Lefebvre, chef de l'entreprise de bâtiment qui porte son nom à Solre-le-Château dans l'Avesnois, c'est un peu celui d'un gars qui déjà tout gosse voulait aller droit au but.
La vie est courte. Est-ce la perte de sa maman, quand il était enfant, qui lui fait toucher du doigt la fragilité de l'existence ?
Toujours est-il que le gamin confié à une famille de Bérelles, petit village de l'Avesnois, n'est pas du style à perdre son temps. Il a 12 ou 13 ans quand il aide à rejointoyer les murs d'un hangar construit chez des voisins fermiers. À l'époque, il songe à devenir agriculteur. Finalement, ce sera maçon. Avec une idée en tête : être un jour son propre patron.
La construction c'est son dada. Le jour est à peine levé qu'il est déjà dans les locaux de sa SARL, route de Trélon à Solre-le-Château, qui emploie quand même soixante salariés à temps plein et une vingtaine d'intérimaires. « J'adore mon métier. Je ne sais pas m'arrêter », dit celui qui, au passage, remercie sa famille pour sa compréhension. Son épouse, Carole, travaille dans l'entreprise. Sa spécialité, c'est le gros oeuvre. « Le second oeuvre, je le sous-traite ».
Dès 7 heures du matin, ses gars arrivent. Lui dirige les équipes, donne la marche à suivre. Bien sûr, il n'est pas seul puisque sept à huit personnes travaillent avec lui dans les bureaux, dont un ingénieur béton. Christian Lefebvre a même récemment embauché celui qui lui fit l'école jeunot et qui fut même le maire de Bérelles, Roland Pellicia. Autant le dire, l'instit peut être fier du gosse à qui il a appris à lire et compter !
Pas flambeur une minute, l'entrepreneur a bien réussi. Il a la poignée de main facile. « Je suis resté simple », confie celui qui dit « bonjour » à tout le monde et n'hésite pas, en buvant sa chope, à converser avec un quidam au café du coin. En 2005, il est revenu habiter Bérelles, son village d'enfance.
Quand il ne pense pas à son entreprise, Christian Lefebvre pense encore bâtiment. Il a réalisé plusieurs programmes de logements via plusieurs Sociétés civiles immobilières, dont le dernier se trouve au 13 Grand-Rue à Solre-le-Château et concerne un béguinage de dix personnes. Le logement c'est sa vocation. D'autres passions ? Elles sont moindres à côté du bâtiment en général. Elles existent quand même. La chasse et le football, bien que Christian Lefebvre n'ait jamais joué dans un club. Il était encore mardi dans les tribunes pour assister au match Valenciennes-PSG. Une façon de faire diversion dans l'emploi du temps de ce passionné avant tout de travail. Et qui s'est fait un point d'honneur en tant qu'entrepreneur en bâtiment : celui de ne jamais être mis sur la touche.
Christian Lefebvre a participé, fin 2012, à la 23e édition des Victoires des autodidactes, le récompensant pour son parcours professionnel.
PAR GÉRALDINE BEYS
PHOTO DIDIER CRASNAULT
Christian Lefebvre. Un prénom et un nom qui se remarquent dans le paysage
La Voix du Nord Publié le 06/12/2012
Christian Lefebvre. Un prénom et un nom qui se remarquent dans le paysage puisqu'ils signalent les chantiers décrochés par l'entrepreneur en bâtiment de Solre-le-Château via sa SARL. Bonne nouvelle, celui-ci, à la tête d'une entreprise d'environ 60 salariés plus une vingtaine d'intérimaires, comptait cette année parmi les finalistes de la 23e édition des Victoires des autodidactes.
Soit une reconnaissance pour cet homme de 53 ans qui a démarré avec une truelle dans une main et un niveau dans l'autre et annonce un chiffre d'affaires de 10 millions hors taxes !
Petit Poucet deviendra grand. Christian Lefebvre c'est un peu ça. Quelqu'un de déterminé qui sait où il veut aller. Originaire de Clairmarais près de Saint-Omer, il perd sa mère à l'âge de 11 ans. C'est enfant qu'il arrive à Bérelles dans sa famille d'accueil. Il y a été placé car son père ne peut, après le décès de sa femme, assumer à l'époque seul l'éducation de cinq enfants.
« Je voulais être agriculteur ». C'est son idée de départ. Et la ferme, il y est un peu tout le temps. Il a 12-13 ans quand ses voisins entreprennent la construction d'un hangar. Il se plaît à faire des joints de la maçonnerie du bâtiment. Sa vocation est née. Il sera maçon. Après la 3e, il obtient un CAP de maçon à Rousies. Et entre vite dans le monde du travail. Il est manoeuvre chez un artisan du coin. Puis, un autre de Dimont l'emploie. « J'ai fini chez Jean-Christophe Hilaire avant de m'installer. Je voulais m'installer à tout prix ».
Être son propre patron, c'est son rêve. Il part néanmoins quelque temps en Belgique et finit par s'installer le 7 juillet 1986 à Clairfayts.
Le 1er juillet 2005, il installe son entreprise à Solre-le-Château. Sa spécialité ? « C'est le gros oeuvre. Le second oeuvre, je le sous-traite. ». Il est, dès 6 h 15 du matin, dans son bureau. « Les gars arrivent à 7 heures. C'est moi qui dirige les équipes. Il est au sein de l'entreprise bien entouré et peut compter, outre ses salariés sur les chantiers, sur un ingénieur béton, deux conducteurs de travaux, deux secrétaires... « On est 7/8 dans les bureaux ». Il est tout le temps là. Les vacances ? Il prend une semaine l'été par an.
En 1999, il a fondé à Sivry, en Belgique, une entreprise générale de bâtiment CTH (Constructions traditionnelles du Hainaut). Et depuis 1993, s'est lancé dans de petits programmes de logements via plusieurs Sociétés civiles immobilières (SCI). En 2006, il a racheté une entreprise de Fourmies de neuf personnes qu'il a appelé Construction, rénovation, bâtiment Solrézis). Fort de cette réussite, l'homme est resté abordable. « Je suis resté simple. Je dis "bonjour" à tout le monde ». Il peut boire une chope dans un café et discuter avec un gars au bar comme parler affaires avec des gens haut placés. En 2005, il est revenu habiter Bérelles. De chez lui, il voit la ferme où gamin il allait donner un coup de main. Sa vie a été faite de bonnes rencontres comme celle de Roland Pellicia, l'ancien maire de Bérelles, qui lui fit l'école il y a 40 ans. Christian Lefebvre l'a embauché à temps partiel. « Il s'occupe de formation et de droit ». Roland Pellicia doit être fier du beau parcours de ce garçon devenu chef d'entreprise.
PAR GÉRALDINE BEYS
J’ai juste un CAP de maçon briqueteur
La Gazette publié le 30/11/2012
Après un parcours de salarié, Christian Lefebvre a lancé, en 1986, une première entreprise spécialisée dans le gros œuvre. Elle a grandi et fait des petits. Faut dire que le patron aime son métier
deux logements à Sars-Poteries que l'on remarque au premier coup d’œil
La voix du Nord publié le 29/11/2012
Impossible de les manquer. De quoi s'agit-il ? Des deux logements à Sars-Poteries que construit l'entreprise de Christian Lefebvre de Solre-le-Château et que l'automobiliste comme le piéton remarque au premier coup d'oeil.
Les deux immeubles ont pour maître d'oeuvre l'architecte Benoît Chandelier de Bavay.
Ils sont situés en bordure de départementale reliant la RN2 à Solre-le-Château et se distinguent par leur toit particulièrement pentu.
« C'est l'architecte qui les a dessinés », explique l'entrepreneur Christian Lefebvre par ailleurs propriétaire des murs du restaurant gastronomique l'Auberge Fleurie située à deux pas.
Les deux logements en cours de construction à sa droite auront grosso modo une superficie de 140 m² habitables et bénéficieront d'un chauffage par le sol.
La couverture est prévue en ardoises naturelles.
La façade de devant devrait comprendre de la pierre bleue et aussi du bois.
Bois, pierre bleue, brique comptent parmi les matériaux utilisés. Le tout pour créer une diversité.
Le chef d'entreprise compte sur une fin de chantier programmée fin mars si les intempéries ne ralentissent pas le cours des choses. Il y a peu, une entreprise belge s'affairait sur la maçonnerie.
Christian Lefebvre nourrit d'autres projets.
Outre ces deux bâtiments, est d'ores et déjà prévue la restauration de huit appartements situés à gauche de l'Auberge Fleurie.
Avec ces constructions modernes, c'est une offre supplémentaire en terme d'habitat qui vient compléter celle déjà existante sur cette commune où se trouve le musée départemental du Verre et qui se veut aussi l'axe direct depuis Maubeuge à la station départementale du ValJoly.
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